Allegro

Newsletter septembre 2021

 

Plus d’automatisation avec Allegro Windows 3.3 

Depuis début janvier 2021, Popsy a laissé place à la nouvelle version Allegro Windows 3.3. Bien plus qu’un changement de nom, l’application comptable améliorée comporte de nombreuses évolutions et fonctionnalités pour vous faciliter la vie au quotidien. En voici un bref aperçu.

Digitalisez vos documents comptables en un tour de main
Une ou plusieurs feuilles, avec ou sans séparation… Quel que soit vos besoins de numérisation, le module scan se présente sous un seul écran à partir duquel vous pouvez traiter vos documents. Récupérer des factures électroniques devient aussi plus facile dans la nouvelle version grâce à un paramétrage distinct pour chaque journal.

Plus de fonctionnalités pour numériser et traiter les documents
PDF, XML, coda, e-fff… Les fichiers digitaux de tous formats sont toujours plus nombreux pour le traitement de la comptabilité. C’est pourquoi Allegro introduit une nouvelle barre d’outils qui permet de gérer le flux de documents plus facilement. Vous pouvez ainsi acquérir et ouvrir des fichiers venant de plusieurs sources, mais aussi les lier à l’écriture comptable les concernant.

Nouvelle saisie des ventes et des achats
De nouveaux écrans d’encodages ont été créés pour comptabiliser les écritures. Résultat : des saisies plus rapides en moins de clics. Vous pouvez également profiter des données bancaires en votre possession pour accélérer la saisie d’une facture.

Un système de lettrage plus simple et plus rapide
A partir de l’historique d’une fiche, vous pouvez désormais accéder à un lettrage simplifié Débit/Crédit qui permet de lettrer automatiquement toutes les lignes en un seul clic.
Allegro Windows 3.3. offre encore bien plus de fonctionnalités de digitalisation et d’automatisation avancées. Exemples parmi d’autres : création plus rapide de fiches clients et fournisseurs, accès direct aux données BNB, Moniteur Belge et ONSS, gestion des extraits bancaires…

Intéressé? Envoyé un e-mail à sales@allegro.be ou téléphonez-nous au 02/371 49 11 

 

Mollie, le nouveau gÉant du paiement en ligne

La start-up néerlandaise Mollie a levé en juin dernier 665 millions d’euros de fonds supplémentaires qui lui permet d’atteindre les 5,4 milliards d’euros de valorisation boursière. Active dans le secteur des paiements en ligne, Mollie propose aux entreprises un moyen d’intégrer des paiements sur les sites, ainsi que d’autres services via une API.

Créée en 2004, Mollie a vu sa croissance exploser en 2020 grâce au boom de l’e-commerce pendant la crise sanitaire. En 2021, Mollie devrait traiter plus de 20 milliards d’euros de paiement, contre 10 milliards en 2020. Deliveroo, Acer, Unicef ou encore Guess font partie des clients de Mollie, qui accueille entre 400 et 500 nouveaux clients par jour.

 

La fiscalitÉ, un outil de dÉfense de la planÈte ?

 

D’ici 2022, la fiscalité belge sera réformée pour alléger les coûts du travail et pour être plus neutre en carbone. Selon la manière dont la fiscalité est organisée, elle peut être favorable ou défavorable pour le climat, renforcer ou diminuer les inégalités sociales. Greenpeace Belgium expose trois raisons qui expliquent pourquoi la fiscalité peut être un outil de défense de la planète.

1. Une fiscalité plus verte

La fiscalité permet d’avoir des marges de manœuvre budgétaire essentielles pour la transition écologique. Une fiscalité plus juste et plus verte est devenue une question centrale pour relancer l’économie post-Covid-19 et pour opérer une transition écologique et sociale. Le plan de relance de l’Union européenne représente 5,9 milliards d’euros en Belgique. Selon Greenpeace, cela reste insuffisant pour y arriver. Pour pouvoir diminuer drastiquement les émissions de gaz à effet de serre, les investissements publics devront être plus importants et mettre la transition climatique au cœur de leur action.

2. Mettre fin à l’évasion fiscale

L’évasion fiscale représente un grand manque à gagner pour les investissements publics au profit du climat et de la population. Nombreuses sont les multinationales à profiter des paradis fiscaux pour payer de moins en moins d’impôts. Soit une perte sèche de 30 milliards d’euros pour la Belgique. Greenpeace propose donc de lutter contre l’évasion fiscale au niveau international et rehausser l’imposition des multinationales pour financer la transition écologique.

 

3. La fiscalité belge ne doit pas soutenir des comportements polluants
Selon que l’on fasse partie des personnes les plus aisées ou les plus pauvres en Belgique, notre empreinte carbone varie du simple au double (plus de voyages en avion, grosses voitures…). Pour changer les choses, il faudrait diviser par 10 l’empreinte carbone des Européens les plus riches. Dans ce cadre, la fiscalité peut jouer un rôle de levier. Exemple de mesures actuelles contreproductives :
les subsides directs ou indirects en faveur des voitures de société, octroyer des exemptions fiscales ou des subsides aux entreprises, etc. 

 

6G : Samsung dÉvoile ses premiers rÉsultats

Le réseau 5G se déploie à peine aux quatre coins du monde que les géants de la High-tech et des télécommunications se tournent déjà vers la 6G. Comme Samsung qui a réalisé ses premiers tests dans des conditions très précises en laboratoire strict. Les premiers résultats ont montré des débits impressionnants. 

La 6G pourrait en effet offrir des débits 50 fois supérieurs à la 5G. Bien que Samsung se montre très optimiste, il faudra au moins une décennie avant que la 6G soit prête à être déployée. Et même dans ce cas, il faudra attendre que les villes s’équipent d’infrastructures compatibles. Pour Samsung, la 6G permettra « d’offrir des services d’hyperconnectivité et une expérience multimédia ultime, comme la réalité étendue (XR), l’hologramme mobile hautefidélité, etc. ».

 

Retour au bureau : un travailleur sur cinq est contre 

Après plus d’un an de télétravail, le retour en entreprise se profile à l’horizon. Mais un travailleur sur cinq ne semble pas s’en réjouir, ayant expérimenté les avantages du télétravail, dans un environnement tranquille et souvent agréable. En cause : les nuisances sonores et les collègues trop nombreux à proximité.

C’est ce qui ressort d’une étude menée pour Tempo-Team en collaboration avec la professeure Anja Van den Broeck, experte en motivation du travail à la KU Leuven. Le lieu de travail tel que nous l’avons toujours connu ne répond plus aux besoins ni aux attentes de nombreux travailleurs. Plus d’un sur trois (39%) se plaint des bruits environnants, et un sur cinq des collègues trop nombreux au même endroit. Un sur quatre déclare devoir travailler sous une lumière artificielle et près d’un sur deux déplore l’absence d’équipements ergonomiques. L’étude de Tempo-Team établit donc un lien direct entre la qualité de l’aménagement du lieu de travail et le plaisir qui y est éprouvé. « Un cadre de travail agréable a un impact certes limité, mais bien réel sur la motivation et le bien-être du personnel », commente Anja Van den Broeck.

Le télétravail, une tendance durable

Quiconque a goûté aux avantages du télétravail, ne veut plus s’en passer, mais de préférence en parallèle avec le travail en entreprise. D’après l’étude Tempo-Team, cette formule est préférable au choix radical excluant l’une ou l’autre solution. L’alternance du lieu de travail semble offrir un meilleur équilibre avec la vie privée et améliore le plaisir au travail. Tandis que le personnel obligé de se rendre chaque jour au bureau éprouve moins de plaisir au travail. « Si les tâches le permettent, l’entreprise devra à l’avenir s’efforcer d’investir dans des bureaux régionaux ou de permettre à son personnel de travailler à domicile à temps partiel », conclut Sébastien Cosentino, porte-parole de Tempo-Team.

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