Allegro

Newsletter decembre 2021

Allegro met à votre disposition une série d’outils pour favoriser une prise en main autonome, rapide et efficace du logiciel Allegro Windows.

Une question d’utilisation ? 4 moyens de vous aider

Allegro met à votre disposition une série d’outils pour favoriser une prise en main autonome, rapide et efficace du logiciel Allegro Windows. Quelle que soit votre question sur l’utilisation du logiciel, vous pouvez trouver une assistance via l’aide en ligne, nos fiches techniques, nos vidéos ou encore en nous contactant directement.

L’aide en ligne contextuelle
La nouvelle version d’Allegro Windows AW 3.3 vous assiste encore plus et encore mieux grâce à l’ajout du manuel en ligne. Accessible en pressant la touche F1, l’aide contextuelle d’Allegro Windows est régulièrement mise à jour. Elle vous fournit des informations pertinentes pour utiliser au mieux votre logiciel comptable.

Des fiches techniques
En vous rendant sur le site d’Allegro, vous trouverez en bas de la page d’accueil l’onglet « support » d’Allegro Windows. Cet onglet vous donne accès à une panoplie de documents explicatifs. Vous trouverez par exemple des explications sur comment personnaliser l’application en fonction de vos besoins, mettre en place un système de gestion des TVA, récupérer des factures électroniques, etc.

Des tutos vidéos en ligne
Consultez aussi notre chaîne YouTube Allegro Software pour trouver des tutoriels vidéos sur différentes thématiques comptables et pour vous tenir à jour.

Assistance personnalisée
Tout est fait pour rendre les logiciels Allegro faciles d’utilisation et pour favoriser l’autonomie. Si des questions d’ordre technique subsistent encore malgré les différentes aides disponibles en ligne, le contrat de support vous permet de bénéficier d’une assistance personnalisée. N’hésitez pas à contacter directement le support par téléphone ou par e-mail. En cas de nécessité, une prise en main à distance de l’application est tout à fait possible.

Une question à propos de nos services? Envoyez un e-mail à sales@allegro.be.

 

Walletmor invente la puce de paiement sous-cutanÉe

Régler ses achats d’un revers de la main devient possible avec la start-up polonaise Walletmor et sa puce implantée sous la peau. Le Polonais Wojciech Paprota est l’inventeur et le développeur de la puce de paiement.

Selon lui, la puce placée sous la peau est une solution sûre et commercialement réalisable, plus encore que le paiement par reconnaissance visuelle. Paprota souligne aussi que ce genre d’implant empêche les personnes mal intentionnées de tracer, pirater ou copier la puce en question. Selon Walletmor, plus de 400 personnes en Europe utilisent la puce (d’une valeur de 350 euros) comme moyen de paiement. à l’avenir, l’implant pourrait aussi servir de badge d’accès ou de clés impossibles à perdre.

 

Les Belges adeptes des notes de frais surÉvaluÉes

Selon une nouvelle enquête de SAP Concur, quatre travailleurs belges sur dix trouvent la fraude sur les notes de frais parfaitement acceptable. Une entreprise européenne moyenne pourrait perdre jusqu’à 15600 euros par an à cause de la fraude sur les notes de frais. En Belgique, cette somme s’élèverait même à 25920 euros.

C’est ce qui ressort d’une étude de l’entreprise de logiciels de gestion de notes de frais SAP Concur. Parmi les comportements frauduleux les plus courants : les dépenses personnelles d’un repas ou de matériel de bureau, les frais kilométriques arrondis, les dépenses liées aux boissons alcoolisées non couvertes et les factures de téléphone professionnel arrondies.

Pour quelle raison les travailleurs frauderaient-ils? Les Belges qui ont répondu à l’enquête citent souvent une contrepartie pour les aspects de leur travail qui ne sont pas récompensés : heures supplémentaires (20 %), temps de trajets (18 %), frais de télétravail (18 %), etc. Les travailleurs européens trouvent ainsi acceptable de soumettre volontairement de fausses dépenses, jusqu’à 130 € par an en moyenne. En Belgique, le montant atteint 192 €, contre 114 € aux Pays-Bas. La perte médiane pour une entreprise belge de 250 collaborateurs s’élève à 25920 euros par an, soit 10600 euros de plus que la médiane européenne.

La fraude n’est cependant pas toujours intentionnelle. Selon l’étude, si 37 % des travailleurs européens surévaluent le nombre de kilomètres parcourus, 15 % le font sans aucune intention de tricher. Tandis que 35 % des répondants européens affirment ne jamais exagérer leurs factures de déplacement. Pour réduire les fraudes et les erreurs, il existe des formations à la prévention. En Belgique, 34 % seulement des entreprises en organisent. L’IA peut aussi aider à détecter la fraude et à améliorer la conformité, suggère SAP Concur.

 

NSI rachÈte un homologue luxembourgeois

L’entreprise liégeoise NSI, filiale de Cegeka depuis 2009, s’empare de Rime IT et renforce ainsi sa présence au Luxembourg. Précédemment, NSI avait déjà racheté Multidata au Grand-Duché.

Fondée en 2011, Rime IT accompagne les projets IT d’entreprises privées, de pouvoirs publics et d’institutions européennes. NSI rachète l’ensemble des actions, sans révéler de détails financiers à propos de la reprise. Suite au rachat de Rime IT, une soixantaine de travailleurs vient s’ajouter aux 200 que NSI employait déjà dans le pays. L’entreprise liégeoise, dirigée par le CEO Manu Pallage, compte à présent un millier de collaborateurs.

 

8 Belges sur 10 prÉfÈrent les rÉunions en prÉsentiel

Lorsqu’ils veulent tenir des réunions importantes, 78,6 % des Belges préfèrent le faire physiquement, soit dans un lieu de réunion externe, soit dans les locaux de l’entreprise. La majorité d’entre eux préfèrent également ne pas organiser de brainstorms, de team buildings, de comités de décision, de réunions de projet et de formations en ligne.

C’est ce qui ressort d’une enquête menée par Comet Meetings via iVOX auprès de 1000 Belges. 78,6 % des travailleurs belges préfèrent se rencontrer physiquement avant une réunion importante. 60,8 % d’entre eux préfèrent le faire en interne, près d’un sur cinq préfère l’organiser en externe dans un lieu de réunion approprié. Seuls 11,6 % optent pour des réunions en ligne par vidéo.

Les préférences varient en fonction du type et de l’objectif de la réunion. La réunion physique est particulièrement plébiscitée quand il s’agit de brainstorms et de team buildings. Le mode présentiel est aussi préféré pour les réunions de projet, les formations et les comités décisionnels. Les avis sont partagés en revanche quand une réunion informative ou une présentation est à l’ordre du jour : environ quatre personnes sur dix sont heureuses de le faire virtuellement, tandis qu’un nombre presque égal préfère une réunion physique. «Dans certains cas, les réunions virtuelles s’avèrent être plus efficaces», affirme Victor Carreau, CEO de Comet Meetings. «Ce que la crise nous a appris, c’est que plus il y a de distanciels, plus il faut du présentiel pour garder le lien. La culture d’entreprise peut survivre au morcellement des lieux de travail, mais pour résister et rester solide, elle doit passer par des moments en groupe, dans une unité de lieu.»

Pour trois quarts des salariés belges, l’interaction entre collègues et l’échange d’idées et d’opinions constituent l’un des aspects les plus agréables des réunions. Parvenir à une décision est également l’une des priorités d’une telle réunion pour près de 55 %.

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